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    Janik PILET
    Dieu ou La Pierre philosophale du physicien

    NotoriétéPopularitéPalmarès
              



    Commentaire de Philipum :

    Un essai où sont exposés les fondements à la fois de la science et de la spiritualité, dans un langage que j'ai trouvé absolument limpide, formant un tout harmonieux : je ne l'aurais pas cru possible ! BRAVO !

    D'un bout à l'autre du texte transparaît une admirable incitation à l'émerveillement, à la quête éternelle de la vérité, à la tolérance de celle des autres, à la remise en question, à se poser des questions et y réfléchir autant en se référant aux autres que par soi-même... voilà un texte qui inspire.

    Outre le préambule touchant, j'ai surtout aimé les premiers chapitres, ceux qui parlent entre autres des physiciens et de leur démarche. Je suis même reconnaissant que quelqu'un puisse faire un si bel exposé de ce qu'est en réalité la science physique, que je définis souvent moi-même comme étant un échafaudage de modèles qui ne prétendent rien expliquer à la réalité mais seulement la décrire telle que nous l'observons.

    Je suis pourtant loin d'adhérer à toutes les idées proposées dans cet ouvrage, surtout à partir du chapitre sur la conscience, qui mène ensuite au postulat d'une conscience universelle globale (Dieu). En fait, c'est le postulat initial (l'axiome de la thèse de l'auteur, si on veut, ou ses "pieds d'argile") que les particules de la matière possèdent (même dans une mesure infime) quelque chose qui ressemble à notre conscience, à laquelle je n'adhère pas. Je ne suis pas du tout convaincu qu'il y ait une volonté ou des volontés (donc capables de choix délibérés) sous-jacentes à la réalité. À mon avis, scientifiquement parlant, nous n'en avons pas besoin ; spirituellement parlant, c'est une autre histoire...

    Un autre point qui me parait discutable, c'est l'affirmation (p.76) que la physique moderne conduit à abandonner la notion de réalité objective (au profit d'une "vérité intersubjective"). J'ai des argument qui pourraient indiquer le contraire, mais en fait je crois bien que nous n'en savons rien. Je suis pourtant assez d'accord avec l'affirmation (p.77) "Il ne peut exister de vérité ou réalité que par rapport à une ou des consciences capables de la concevoir ou percevoir", mais pour nuancer cela je peux aussi m'imaginer que sans la conscience observatrice, la réalité (en fait beaucoup de réalités) existe bel et bien mais seulement à l'état latent, elle n'est pas "révélée".

    J'ai aussi des réserves sur les affirmations de la page 91 par rapport au temps et au rôle de la conscience sur le sens du temps, mais comme ce commentaire devient trop long je vais plutôt soulever cette question (et dautres encore, que je me réjouis de discuter) sur le forum.


    Son évaluation :
    Réponse de l'auteur au commentaire de Philipum :

    Très heureux, Philippe, que mon livre vous ait plu. A vrai dire j'étais un peu inquiet de savoir quel accueil il recevrait auprès de chercheurs en physique des particules. Il est clair qu'il n'existe aucune preuve de ce que j'avance concernant l'universalité de la conscience. Je dis juste que la notre prouve que cette notion existe, et qu'il est très difficile, sinon impossible, de trouver un critère qui permette de dire où elle s'arrête. L'approche que je propose est une position philosophique suffisamment simple pour, je l'espère, ne pas être trop évidente à démolir. Mais je ne pense pas qu'elle puisse avoir une utilité scientifique: La réponse "Dieu" à nos interrogations à plutôt tendance à décourager d'aller plus loin. Ce qui n'est pas mon cas.
    Tout à fait d'accord pour discuter avec vous du temps ou de la réalité qui sont au coeur des préoccupations des théoriciens et font l'objet d'assez nombreux ouvrages destinés au public. Le débat est loin d'être clos.



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