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COMMENTAIRES
Jean Matrot L'innocence même
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Lecteur : Woland | Evaluation :
| 24/05/2007 |
Bien que nos politiciens aient dévoyé comme à plaisir les termes "populiste" et "populaire", il faut oser reconnaître ici à Jean Matrot un talent similaire à celui qui animait Eugène Dabit ou encore Francis Carco et qui a trouvé sa meilleur expression cinématographique avec le Marcel Carné de "Le Jour se Lève" ou de "Quai des Brumes."
Si les petits voyous parisiens se sont considérablement bigarrés depuis Carco, dans le fond, ils n'ont pas changé. Toujours aussi violents et cruels. Simpl... Réponse de l'auteur
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| Lecteur : JC_Heckers | Evaluation :
| 31/05/2007 |
Je veux dire... c'est pas le genre d'histoire qui me branche, normalement. Pas du tout. Au contraire j'aurais tendance à fuir. J'aime bien le roman noir, mais j'en suis resté aux vieux de la vieille... Goodis, Bloch... Bon, n'empêche, je suis resté scocthé jusqu'au bout, et ensuite, j'ai pris une longue, longue respiration, parce que j'en avais vraiment besoin.
En voilà du bon bouquin. Il vaut mieux ne pas mettre le nez dedans, sinon on n'en décolle plus. A bon entendeur... Réponse de l'auteur
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| Lecteur : Couperine | Evaluation :
| 12/02/2010 |
Comment parler de cruauté avec élégance, finesse ? Visiblement, voici une question qui ne semble pas dérouter Jean Matrot dont le style poétique associe ces qualités !
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| Lecteur : Ishtar | Evaluation :
| 21/04/2007 |
Que de soucis et de tracas dans les histoires de Jean Matrot (sourire).
L'innocence même, c'est Jean-Luc, Louise, Micka, un beur, un black, un blanc belliqueux... tout celà à Montreuil, dans un univers impitoyable avec des "merdeux" bâtis comme des portes de chiottes, de la came, des lecteurs DVD, des téléviseurs Plasma.
L'agneau dans le navarin, c'est Micka, pas si innocent que ça.
Montreuil, la ville où tout a commencé et où tout va finir, où l'atmosphère est lourde comme un cassoulet toul... Réponse de l'auteur
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| Lecteur : Mary-j-dan | Evaluation :
| 4/05/2007 |
Incontestablement, c’est du Jean Matrot, la patte d’un écrivain. Le style est accrocheur et le rythme va crescendo, jusqu’à devenir haletant. Les décors, les personnages, l’environnement coloré, lié aux variations du jour, sont habilement dépeints avec des allures poétiques. Le tout, sans lourdeur, la légèreté est habile et ce mélange de rudesse, de sécheresse voire de cruauté, avec ses touches empreintes de poésie est un pur délice. Il me semble important de ne pas apporter de descriptifs sur l... Réponse de l'auteur
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