Commentaire de Mary-j-dan :
Disséminés en petites touches, tels des éclats révélateurs et subtils de l’auteur, j’ai relevé un certain nombre de paragraphes particulièrement admirables. Je pense à « Le sens, la fragilité des liens et des relations… » en page 19 ou encore, « Vi apparut, telle un mannequin… » page 53 ou… Mais non, je ne peux les citer tous. Une grande sensibilité, vis-à-vis du sentiment humain et de la personne, s’en détache. L’esprit en perpétuelle animation d’Éridan, sa quête, son parcours, ses rencontres, sont autant de points qui incitent à la lecture jusqu’à la dernière ligne écrite par le magicien des mots.
Juste une petite question : Ibory, mais quelle mouche l’a donc piqué ? Son bonheur était-il si insupportable, ou pas assez substantiel, pour lui suggérer de fuir vers d’autres horizons ?
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